13 Tendances du Marketing digital

13 Tendances du Marketing digital que vous ne devriez pas ignorer en 2019 (et après)

Marketing Digital

Comment le marketing digital va évoluer ces prochaines années ? Quelles sont les tendances du marketing digital en 2019 ?

Vous vous posez sûrement ces 2 questions. Et cela se comprend …

Le marketing digital est une industrie en constante évolution.

Chaque mois, de nouveaux changements font leur apparition que ce soit dans l’univers des réseaux sociaux, le search (Google) ou le marketing de contenu.

De nouvelles technologies arrivent dans nos vies, comme l’intelligence artificielle.

Les algorithmes sont plus performants et intelligents.

Toutes ces avancées rendent le marketing digital toujours plus précis, efficace … et difficile à appréhender.

La clé pour dompter le marketing à l’ère du digital est de rester au courant des nouvelles tendances pour ainsi comprendre comment vous allez orienter votre stratégie aujourd’hui et dans les années à venir.

En effet, ce qui a marché pour vous avant ne marchera peut-être plus maintenant parce qu’encore une fois le marketing digital est une industrie en constante évolution.

Après avoir effectué quelques heures de recherches pour vous aider à rester à jour sur l’actualité, je vous ai concocté un article reprenant les 13 tendances du marketing digital que vous ne devriez pas ignorer en 2019 (et après).

1) Le contenu éphémère (Stories) va continuer à s’étendre

Les Stories peuvent être définies comme étant plusieurs images ou vidéos assemblées ensemble sous la forme d’un diaporama, et qui ensemble racontent une histoire.

À la différence d’une publication classique, elles ont une durée de vie de seulement 24 heures.

Les internautes les adorent parce que cela leur permet de publier sur les réseaux sociaux de manière plus spontanée et donc avec moins de préparation qu’un contenu classique.

Elles ont été popularisées par Snapchat et ensuite reprises par Instagram en août 2016.

Comme vous le voyez, les Stories s’affichent tout en grand sur l’écran, ce qui permet de créer des expériences immersives.

C’est une véritable réussite quand on compte qu’il y a déjà plus de 400 millions d’utilisateurs Instagram qui font des Stories chaque jour, soit 2 fois plus d’utilisateurs actifs que sur Snapchat …

Facebook a clairement annoncé durant la conférence F8 en mai 2018 qu’il s’agit du canal de communication de demain.

Chris Cox, la personne en charge du département produit chez Facebook, a expliqué que « le format de la story est sur le point de dépasser le fil d’actualité et ainsi devenir la première manière dont les gens partagent des choses avec leurs amis d’ici l’année prochaine ».

Mais ne pensez pas que seuls vos proches aiment faire des Stories …

Les entreprises savent aussi en servir ! Sur Instagram, 1/3 des Stories les plus vues ont été produites par des entreprises, selon Instagram.

Les entreprises veulent investir leur temps et leur argent dans les Stories pour profiter de ce format à la fois authentique et engageant, qui en plus leur permet d’avoir toute l’attention de la personne, pour :

  • Humaniser leur marque
  • Montrer du contenu « behind-the-scene »
  • Montrer l’avancement d’un projet ou la création d’un produit
  • Teaser des nouveaux produits
  • Faire une annonce
  • Etc. (la limite dépend vraiment de votre créativité).

De plus, l’aspect éphémère des Stories fait que les entreprises peuvent en profiter pour faire des promotions à durée limitée. Voici d’ailleurs quelques conseils pour créer de parfaites Stories Instagram.

Vous n’aimeriez pas passer à côté d’une telle offre, pas vrai ?

Enfin, depuis 2017, les entreprises peuvent aussi faire de la publicité dans les Stories et promouvoir leurs offres assez habilement.

Les Stories sont aussi apparues sur Facebook, Messenger et WhatsApp.

Une preuve qu’elles deviennent la norme sur les réseaux sociaux et les plateformes de messagerie sociale.

Si vous ne savez pas comment démarrer avec les Stories, inspirez-vous de ces 10 exemples de Stories Instagram que j’ai commentés dans cet article de mon blog.

2) La recherche vocale

Aujourd’hui, je suis sûr que vous êtes tous des pros de la recherche sur Google.

Par exemple, si vous vouliez en savoir plus sur les tendances du marketing digital, vous feriez une recherche de ce type :

« Tendances marketing digital »

Cela est en train de changer avec la recherche vocale sur mobile.

Selon Gary Vaynerchukune recherche Google sur 4 est vocale sur un appareil mobile.

En 2020, on estime même que 50% des recherches seront vocales.

D’ailleurs, si vous voulez faire le test, utilisez l’application Google sur votre smartphone et faites une recherche vocale …

Comme vous le voyez sur cette capture d’écran, je n’ai pas dit « tendances marketing digital ».

J’ai plutôt affirmé à voix haute ce que j’avais en tête : « Quelles sont les tendances du marketing digital ? »

Je dois vous avouer que j’ai dû refaire ma demande plusieurs fois avant que l’algorithme puisse comprendre mes paroles. La technologie est sûrement plus développée pour comprendre l’anglais que les autres langues.

Cela me laisse à penser que la recherche vocale n’est pas encore aussi développée chez nous en Europe qu’aux États-Unis. Dans les prochaines années, cela devrait bien sûr changer.

Cela ne veut pas dire qu’il faut l’ignorer !

En effet, les recherches réalisées par la voix ne sont pas tout à fait les mêmes que celles saisies au clavier.

Plutôt que d’écrire plusieurs mots clés sans les lier avec des déterminants ou des prépositions, les recherches que l’ont fait par la voix sont plus longues et sont comparables à des phrases entières (questions ou affirmations).

Les pros du SEO savent que les mots clés de longue traine seront d’autant plus importants à l’avenir. 

Comme vous vous en doutez, la recherche vocale a un impact sur le référencement de vos contenus puisqu’il faudra les optimiser pour montrer à l’algorithme qu’ils ont la réponse aux recherches vocales.

Par exemple, le titre de cet article pourrait être « Quelles sont les tendances du marketing digital en 2019 ? » pour montrer que mon article donne des réponses à la question de l’internaute.

Pour aller plus loin sur la recherche vocale, je vous recommande cet article qui vous montre comment optimiser vos contenus SEO pour la recherche vocale.

3) La vidéo

Le marketing vidéo est sur la pente ascendante.

YouTube, Facebook et Netflix se battent pour devenir votre deuxième télévision.

Les internautes veulent plus de vidéo, et c’est aux entreprises de s’adapter.

Cisco prévoyait d’ailleurs que 80% des contenus sur le web seraient des vidéos d’ici 2019. On attend maintenant que cela se confirme.

J’ai encore d’autres statistiques intéressantes pour vous, toutes récoltées par Forbes :

  • Selon YouTube, la consommation de vidéo sur Internet double chaque année
  • 64% des consommateurs sont plus susceptibles d’acheter un produit en ligne après avoir vu une vidéo de ce produit
  • Les publicités vidéo représentent maintenant plus de 35% de toutes les dépenses publicitaires en ligne
  • Un tiers du temps passé en ligne par les internautes est dédié à regarder des vidéos

Sur les réseaux sociaux aussi, les vidéos sont très populaires, notamment sur Facebook et Instagram.

Buzzsumo vient justement de publier une étude assez révélatrice du succès de la vidéo sur Facebook.

Après avoir analysé 777 millions de posts Facebook en 2018, il en ressort que les vidéos reçoivent au moins 59% d’engagement en plus que les autres types de posts sur Facebook.

Sur les 500 publications les plus populaires sur Facebook en 2018, plus de 81% de ces publications étaient des vidéos !

Cela ne veut pas dire que vous devez totalement revoir votre ligne éditoriale, mais peut-être que publier plus régulièrement des vidéos pourrait raviver l’engagement de votre Page Facebook.

Les vidéos natives ont aussi beaucoup de succès sur LinkedIn. Pour le coup, cela fait un peu plus d’un an que l’on peut publier une vidéo nativement sur ce réseau social.

Encore maintenant, publier des vidéos sur LinkedIn vous permet littéralement d’obtenir de la visibilité GRATUITE.

Comment se lancer dans la vidéo en 2019 ?

Souvent, quand on pense aux vidéos, on pense à se filmer devant son smartphone et ensuite faire le montage (ou le déléguer).

Autant dire que cela demande d’être à l’aise à la caméra, une compétence qu’on n’a pas naturellement. Et en plus, cela demande des compétences en montage vidéo (ou de l’argent).

Si vous êtes de nature introvertie, cela peut vraiment paraitre intimidant.

Pour moi, ça l’était.

Alors pour me lancer, j’ai d’abord investi dans un logiciel de montage.

J’ai choisi Animoto pour son rapport qualité-prix et ses nombreuses recommandations (retrouvez dans cet article un tutoriel pour utiliser ce logiciel).

L’avantage de ce logiciel est que vous pouvez créer des vidéos professionnelles à partir d’images ou de mini-clips en seulement quelques minutes.

Cela m’a permis d’obtenir des résultats intéressants en termes de portée organique sur ma Page Facebook

Pour être plus à l’aise en vidéo, j’ai aussi enregistré des interviews sur Skype avec partage d’écran que j’ai ensuite publié sur mon Groupe Facebook privé.

C’est donc ce que je vous conseille de faire si vous ne vous êtes pas encore lancé …

Vous pouvez aussi lire mon nouvel article sur la vidéo Facebook, avec des conseils pour obtenir plus de vues et d’engagement sur vos vidéos.

4) La vidéo en direct

Et si on parlait maintenant des vidéos en direct ?

Facebook, YouTube, Twitter et Instagram nous permettent de passer en Live … mais est-ce que les entreprises s’en servent ?

Sur ce point, la transition semble un peu plus difficile.

Selon une étude conduite par Buffer, seulement 31% des marketeurs interrogés ont diffusé une vidéo en direct en 2017.

Pour ceux qui ont fait un Live, 91% des répondants ont utilisé Facebook comme plateforme pour diffuser leur Live, suivi par Instagram et Periscope.

Aujourd’hui, il est presque indispensable de faire des vidéos en direct. Votre public attend de vous un contenu plus authentique et engageant. C’est justement l’essence de la vidéo en direct.

Faire une vidéo en direct, c’est l’occasion de :

  • Montrer un évènement auquel vous assistez et que vos fans n’ont pas forcément accès (ex. : défilé de mode, conférence, etc.)
  • Faire une séance de questions/réponses
  • Lancer une émission hebdomadaire
  • Interviewer un expert ou un influenceur que votre audience admire

Les possibilités ne manquent pas pour interagir avec votre audience.

En 2018, Facebook a encore amélioré l’expérience des vidéos en direct, notamment avec l’arrivée des sondages en direct.

Si vous voulez faire des Lives Facebook professionnels (sans vous arracher les cheveux avec l’aspect technique), je vous invite à lire mon guide sur la production d’un Live Facebook.

5) La télévision des réseaux sociaux

En 2018, Facebook a lancé l’application IGTV, une plateforme dédiée à la vidéo pour les utilisateurs Instagram.

La particularité de cette app est que l’on peut y publier uniquement des vidéos au format vertical. En plus, les vidéos publiées peuvent durer jusqu’à 1 heure.

L’objectif bien sûr, c’est de favoriser la création de vidéos longs-format au sein d’une plateforme entièrement dédiée à la vidéo.

N’importe quel utilisateur Instagram peut créer sa propre chaîne sur IGTV (en plus, tous vos abonnés sont automatiquement abonnés à votre chaîne).

Facebook a aussi lancé mondialement « Watch », qui est aussi une plateforme dédiée à la vidéo, hébergée dans Facebook cette fois-ci.

Watch existait déjà aux USA depuis août 2017.

En quelques mots, Facebook Watch c’est :

  • Un endroit pour découvrir de nouvelles vidéos (par la recherche ou les suggestions)
  • Suivre les vidéos des Pages et personnalités que vous suivez
  • Un endroit pour retrouver vos vidéos enregistrées
  • Vidéos auxquelles vous pouvez participer (Watch Parties)

Certains « créateurs » peuvent aussi créer une émission sur Watch (que ce soit une web-série, tv réalité, reportage, etc.), avec une Page Facebook entièrement dédiée à l’émission.

Facebook Watch ressemble à un concurrent de YouTube.

Comme vous le voyez sur cette capture d’écran, on y voit les Pages auxquelles je suis abonnée et qui ont publié des vidéos.

Il y a aussi une barre de recherche pour rechercher une vidéo.

Même si Watch ne semble pas encore très adopté chez nous (malgré les 400 millions d’utilisateurs actifs mensuels), Facebook semble très sérieux à propos de cette plateforme et l’a exprimé de plusieurs façons :

« Nous voulons donner aux créateurs de contenu les outils nécessaires pour développer un business sur Facebook »

« Nous voulons donner la possibilité à n’importe quel créateur/média de pouvoir créer sa propre émission dans le futur »

Quant à IGTV, on ne sait pas vraiment dire s’il s’agit d’un concurrent de YouTube comme les vidéos qui y sont publiées le sont uniquement au format vertical (9:16).

Je me demande d’ailleurs si les créateurs présents sur YouTube viendront s’y aventurer. La question se pose.

Par contre, les influenceurs qui ont une grosse audience sur Instagram ont tout à gagner à développer leur émission sur IGTV.

Ce qui semble acquis, c’est que ces plateformes devraient devenir une seconde télévision pour nous, surtout pour les jeunes de la génération Z (nés après 1995).

Pour l’instant, on attend de voir ce qu’elles nous réservent.

6) La publicité sur les réseaux sociaux

Si vous lisez régulièrement mon blog, vous savez que je suis un grand adepte des publicités sociales.

Après le blogging, c’est la seconde compétence que j’ai cherché à développer dans ma jeune carrière de marketeur.

J’en voyais de plus en plus et j’avais entendu que « ce n’était pas cher ».

Je me suis dit que c’était l’opportunité pour moi de développer une compétence recherchée sur le marché.

Je ne m’étais pas trompé.

Les dépenses en publicités sociales ne cessent de grimper et devraient atteindre 23.5 milliards de dollars en 2021.

Et sur l’année 2018, les marketeurs ont augmenté leurs dépenses en publicité sociale de 32% et n’ont jamais autant fait de la publicité qu’auparavant.

Alors pourquoi une telle croissance ?

Raison #1 : la chute du reach organique et du trafic social

Sur Facebook, la chute de la portée organique incite les marques à mettre de l’argent dans les publicités pour continuer à pousser leurs contenus vers leurs fans si durement acquis et conserver leur taux d’engagement.

Les réseaux sociaux apportent aussi de moins en moins de trafic sur un site web 🙁

Regardez la chute vertigineuse du trafic généré par Facebook en 2017.

Par conséquent, les entreprises sont aussi « obligées » de payer pour continuer à obtenir du trafic provenant des réseaux sociaux.

Mais ne pensez pas que Facebook est la seule plateforme affectée.

La portée organique diminue tout doucement sur Instagram et les marques seront bientôt forcées aussi de booster leurs publications (comme sur Facebook).

Raison #2 : les possibilités de ciblage

Sur Facebook ou Instagram, les possibilités de ciblage ne manquent pas pour montrer des publicités toujours plus pertinentes.

Vous pouvez cibler les résidents d’une ville ou d’un pays en particulier.

Vous pouvez cibler une tranche d’âge spécifique.

Vous voulez cibler les hommes uniquement ? Pas de problème !

Vous pouvez aller bien plus loin encore dans votre ciblage en incluant les centres d’intérêt supposés de votre audience et bien d’autres choses encore …

Raison #3 : elles sont natives 

Contrairement aux publicités du Display que vous connaissez si bien, les publicités sociales s’intègrent naturellement à la plateforme, de sorte qu’elles ressemblent moins à de la publicité.

Pas étonnant que les entreprises veulent leur part du gâteau …

La concurrence augmente comme vous vous en doutez.

Sur Facebook, une Page Facebook sur 4 utilise la publicité Facebook dans sa stratégie.

Sur Instagram, il y a déjà plus de 2 millions d’annonceurs à travers le monde et ce nombre va continuer d’augmenter en 2019.

Mais avec la croissance du nombre d’annonceurs, les coûts augmentent aussi (et ça, c’est une seconde tendance !).

Par où commencer si vous n’en avez jamais fait ?

La première étape est d’étudier ou définir votre audience. Dès le départ, vous devez être clair sur le profil de votre client idéal. Répondez à ces quelques questions pour commencer :

  • Quel âge a-t-il ?
  • Est-ce un homme ou une femme ? Ou les 2 ?
  • Quels sont ces centres d’intérêt ?
  • Quels sont ses objectifs ? (en répondant à cette question, vous en saurez plus sur ces désirs)
  • Quelles sont ses peurs et frustrations ? (l’idée est de connaitre le problème de votre client idéal, celui que votre produit/service résout)

Les réponses aux 3 premières questions vous permettront de cibler correctement vos publicités. Les réponses aux 2 dernières questions vous permettront d’écrire des publicités personnalisées.

Ensuite, interrogez-vous sur vos objectifs. Voici des objectifs fréquemment utilisés par les annonceurs :

  • Se faire connaitre (notoriété de marque)
  • Générer des prospects
  • Vendre
  • Attirer des clients en boutique physique

Après ça, identifiez le contenu que vous avez à votre disposition :

  • Avez-vous des vidéos qui présentent votre entreprise et ce qu’elle propose ?
  • Avez-vous des images qui attirent l’oeil pour vendre vos produits ou générer des leads ?
  • Avez-vous des vidéos de démonstration de vos produits ?
  • Quelles sont les offres que vous allez mettre en avant pour vendre ou attirer du monde dans votre boutique physique ?

Source : Mounir Digital

Les conseils que je vous ai donnés valent, quelle que soit la plateforme publicitaire que vous allez utiliser pour vous promouvoir.

Si vous voulez connaitre le fonctionnement de la publicité Facebook ou Instagram, il vous suffit de télécharger le guide de la publicité Facebook ou le guide de la publicité Instagram que j’ai édités et mis à jour 😉

7) L’intelligence artificielle

Depuis quelques années déjà, l’intelligence artificielle (IA) fait partie de nos vies.

L’exemple que j’ai toujours en tête quand je pense à l’ID, c’est Siri qui existe depuis 2011 !

Aujourd’hui, Siri est même capable de vous rappeler des coups de téléphone importants à passer …

L’intelligence artificielle ce n’est pas quelque chose de très humain et on peut comprendre que certains y soient réticents.

Pourtant, nous verrons que les chatbots (robots conversationnels) sont plutôt bien adoptés par les internautes.

Les assistants personnels

Vous les connaissez déjà :

  • Siri d’Apple
  • Google Assistant
  • Alexa d’Amazon
  • Cortona de Microsoft

Ils n’ont rien d’humain, mais ils sont sacrément intelligents !

Prenons Alexa.

Alexa, c’est un peu votre assistant à qui vous pouvez demander toutes sortes de choses et qui fait les recherches à votre place.

Par exemple, si vous voulez aller en vacances à Ibiza, vous pouvez demander à Alexa :

  • Quels sont les meilleurs hôtels
  • Quel temps il fera la semaine prochaine
  • Quels sont les meilleurs endroits à visiter …

Cette technologie est déjà bien adoptée aux USA.

Pour en savoir un peu plus sur Alexa, je vous recommande cette vidéo de Gary Vaynerchuk qui prétend qu’Alexa est le nouveau moteur de recherche vocal, et futur concurrent de Google.

Dans les prochaines années, attendez-vous à voir des entreprises intégrer Alexa et la recherche vocale à leur stratégie digitale.

Les chatbots

Les chatbots …

Ces robots qui vous font la conversation sur Messenger.

Vous pensez que c’est intrusif ?

Une étude conduite par LivePerson (5000 personnes interrogées) montre que les répondants sont plutôt positifs quant à leur expérience avec un chatbots.

38% des répondants ont eu une expérience positive contre seulement 11% qui ont eu une expérience négative.

Source : Buffer

À votre avis, qu’est-ce qui différencie le plus les chatbots du service client ?

Leur disponibilité !

Ils sont disponibles 24H/24 ! Ils ne dorment pas.

Cela veut dire que quand vous n’êtes pas connecté, ils peuvent offrir une réponse à une requête client.

Ce n’est pas leur seule utilisation …

Parmi les utilisations les plus fréquentes des chatbots, on retrouve :

  • Obtenir une réponse rapide en cas d’urgence
  • Obtenir des réponses détaillées ou des explications
  • Payer une facture
  • Acheter un produit
  • Rejoindre une liste email
  • Etc.

Domino’s Pizza est l’exemple que j’aime le plus me référer pour présenter une utilisation rentable des chatbots.

Aux USA, si vous cliquez sur « Envoyer un message », vous serez introduit à un chatbot qui vous invitera à :

  • Faire une commande
  • Refaire une commande passée
  • Suivre une commande

Vous l’avez compris, vous pouvez commander une pizza sans interagir avec une personne au téléphone … Incroyable !

Je vous ai trouvé un autre exemple.

Cette fois-ci, une conversion entre un utilisateur et le bot de la marque Rayban.

Source : www.assafelovic.com

Bien que cela semble complexe à mettre en place, il existe des logiciels peu coûteux qui vous permettent de configurer un chatbot, comme Manychat.

Vous pouvez aussi mettre en place des scénarios sur Messenger, en configurant des réponses automatiques à des questions ou requêtes courantes par exemple.

Attendez-vous à voir plus d’entreprises utiliser les chatbots en 2019 pour améliorer leur service client.

La personnalisation

L’intelligence artificielle ouvre aussi la porte à la personnalisation des contenus, des offres et des publicités.

Parmi les exemples connus de personnalisation, on retrouve la page d’accueil personnalisée selon vos visites passées et les produits que vous avez recherchés sur un site e-commerce.

Je pense à Amazon ou Zalando.

Amazon aime aussi vous faire des recommandations selon vos recherches passées :

Les consommateurs s’attendent eux-mêmes à retrouver une page d’accueil personnalisée ou des offres pertinentes par rapport à ce qu’ils ont déjà vu sur votre site.

8) L’authenticité chez les influenceurs

2018 a sans aucun doute été l’année des influenceurs.

Et ce n’est pas près de s’arrêter ! On prévoit que les dépenses allouées à des partenariats avec des influenceurs dépassent 5 à 10 milliards de dollars avant 2020.

Aujourd’hui, c’est impossible que vous n’ayez pas entendu parler de ces nouvelles figures d’autorité qu’on retrouve le plus sur YouTube ou Instagram.

On les reconnait facilement parce que :

  • Ils ont une audience (des milliers d’abonnés)
  • Ils ont beaucoup de likes et commentaires sur leurs photos
  • Ils ont de belles photos
  • Ils font régulièrement des partenariats avec d’autres marques

Voici un exemple : 

Comme vous le voyez sur ce post, cette influenceuse belge est en partenariat avec Opullence Paris, une boutique de vêtements basée à Paris.

Le but de ce partenariat ? 

Développer la notoriété de la marque.

Bien sûr, vous n’êtes pas dupe. Vous avez compris que l’influenceur y gagne aussi.

Elle reçoit soit une rémunération en nature (produits offerts) ou une rémunération financière.

Alors, pourquoi ça marche le marketing d’influence ? 

Merci de demander !

Le partenariat que je viens de vous montrer est une publicité. Vous n’y avez pas forcément pensé parce qu’il s’agit d’un concours.

Plutôt que de payer Facebook pour arriver dans votre fil d’actualités, la marque s’associe avec l’influenceur pour se présenter à vous.

Encore mieux, elle est introduite par une source de confiance (l’influenceur) à sa communauté.

On peut donc dire que c’est de la publicité cachée … et finalement pas si mal perçue par les consommateurs.

En effet, 90% des consommateurs font confiance aux recommandations de leurs pairs contre seulement 33% qui font confiance à la publicité traditionnelle.

Ce n’est donc pas étonnant que le marketing d’influence délivre un ROI 11x plus élevé que la publicité traditionnelle.

Qu’est-ce qui va changer en 2019 ? 

Maintenant, la sphère des médias sociaux est bien au courant de tout ça.

Vous avez l’habitude de voir ces posts qui contiennent des hashtags #sponsored ou #ad pour dire qu’il s’agit d’une publicité.

D’abord, il faut s’attendre à ce que les influenceurs reconnaissent leurs sources de revenus. C’est la première chose.

Ensuite, vous verrez que certains influenceurs chercheront à établir des relations sincères avec leurs abonnés en partageant les difficultés de leur métier, la réalité derrière leur vie parfaite, etc.

Par exemple, Gaëlle VP, l’influenceuse dont je vous ai parlée, explique dans cette interview qu’être influenceur est loin d’être un métier de tout repos entre les shootings photos, les négociations avec les marques, les échanges de mails et le community management.

Et ces fans semblent apprécier cette franchise …

Si vous êtes de l’autre côté de la barrière, l’entreprise qui fait appel à l’influenceur, recherchez avant tout des partenariats longs-terme afin d’avoir à vos côtés des ambassadeurs pour votre marque.

9) L’essor des micro-influenceurs

La 9e tendance du marketing digital à laquelle j’ai pensé pour vous, c’est les micro-influenceurs …

Comme je vous l’expliquais, les influenceurs sont très occupés et sollicités par des dizaines de marques. S’ils sont sollicités, ils coûtent forcément plus cher. En plus, ils sont plus habiles en négociation ou sont accompagnés par des agences.

Les micro-influenceurs, à l’inverse, ont des petites communautés ciblées.

De quelle taille, me direz-vous ?

Cela dépend.

On peut dire que vous êtes considéré comme « micro-influenceur » si vous avez une communauté qui se situe entre 1000 et 100.000 personnes.

C’est la tranche qui revient le plus souvent.

Tout dépend de l’industrie.

Par exemple, il existe des centaines de blogueuses mode sur Instagram dont le nombre d’abonnés se compte en dizaines de milliers. Elles sont considérées comme des micro-influenceurs.

Par contre, dans le marketing digital, rares sont les influenceurs qui ont plus de 50.000 abonnés. Et s’il y en a un, on ne le considéra évidemment pas comme un micro-influenceur.

Quelle est la grande différence avec les « gros » influenceurs ? 

Il y en a plusieurs.

Les micro-influenceurs ont des communautés plus engagées, c.-à-d. qu’ils récoltent un taux d’interaction plus important pour chaque post.

Typiquement, des micro-influenceurs ont des taux d’interaction par post qui peuvent monter jusqu’à 20% ! (oui, vous avez bien lu)

Un tel taux d’interaction est impensable pour un influenceur. Celui-ci aura généralement un taux d’interaction qui varie entre 2 et 5% dans le meilleur des cas.

Comme les micro-influenceurs ont une communauté plus petite et qu’ils sont moins sollicités par les marques, ils coûtent moins cher !

Cerise sur le gâteau, ils sont plus proches de leurs abonnés, ce qui veut dire que lorsqu’ils font la promotion d’un produit, il y a plus de chances qu’ils y croient.

À l’inverse des célébrités aux millions de followers qui essaient de vendre un produit. Nous savons tous que rien de tout ça n’est vrai !

D’après l’agence HelloSociety, « les campagnes qui font appel aux micro-influenceurs ont un taux d’engagement 60% supérieur et poussent 6,7 fois plus les followers vers un comportement d’achat que les grands prescripteurs, rendant les stratégies annonceurs beaucoup plus rentables. »

Aujourd’hui, les marques n’hésitent donc plus à faire appel aux influenceurs.

Regardez ce post qui a récolté 311 réactions et 42 commentaires :

À votre avis, combien de personnes suivent ce compte ?

2000 ? 5000 ? 10.000 ?

Essayez de deviner …

2300 personnes suivent ce compte, ce qui nous fait un taux d’interaction de 15% (353 divisé par 2300) sur la publication ! Et il s’agit pourtant d’une promotion 😉

Vous comprenez pourquoi il est intéressant de développer des relations avec des micro-influenceurs.

Peut-être que comme moi vous ne connaissiez pas la marque Rosefield, celle qui était mise en avant dans le post que je vous ai montré.

Mais, est-ce que vous connaissez Daniel Wellington ?

Probablement !

Cette marque aussi fait appel à des micro-influenceurs.

Ce compte a tout juste 2250 abonnés et le taux d’interaction est très élevé également.

En 2019, on peut s’attendre à ce que les micro-influenceurs soient plus sollicités par les marques.

10) Le contenu généré par les utilisateurs (UGC)

Je vous disais que 90% des consommateurs font confiance aux recommandations de leurs pairs contre seulement 33% qui font confiance à la publicité traditionnelle.

En d’autres termes, votre audience préfère écouter vos clients que vous-même.

Qu’est-ce que ça veut dire ?

Cela veut dire que vos clients peuvent (aussi) vous aider à parler de vos produits/services.

C’est une forme de bouche-à-oreille en ligne. 

Ce type de contenu est très fréquent sur Instagram.

Pensez par exemple à Starbucks qui republie régulièrement les photos Instagram de ses utilisateurs.

instagram stories starbucks

C’est assez fréquent, et de plus en plus via les Stories.

Mais ce n’est pas tout …

En 2018, j’ai vu plusieurs entreprises mettre en avant leurs utilisateurs dans leurs publicités.

Il n’y a pas de doute, les marques vont continuer à se servir de l’UGC en 2019 et après !

Pour en savoir plus sur l’UGC, je vous invite à lire le point 10 de cet article où je vous explique comment republier ce type de contenu sur votre compte sans enfreindre les règles en matière d’utilisation des données.

11) Le contenu interactif 

Le marketing digital, ce n’est plus seulement écrire des articles de blog pour le SEO et attendre que le trafic arrive.

Internet est interactif maintenant.

Pensez aux Lives chats sur les sites e-commerce.

Vous allez me dire qu’une publication sur les réseaux sociaux est un contenu interactif et que cela existe depuis déjà des années.

C’est vrai, ces publications créent de l’engagement (commentaires, partages, réactions), mais il semble que cela soit moins efficace qu’auparavant.

Pour se différencier, les marques et entreprises doivent adopter de nouvelles formes de contenu plus interactives.

Voici quelques exemples :

Les Quiz 

Pour générer des leads, vous pourriez utiliser des guides ou livres blancs comme je le fais.

Mais vous pouvez mieux faire.

Sur la page d’accueil de son site, Ramit Sethi vous propose un quiz pour que vous puissiez connaitre votre potentiel de revenus.

Vous répondez tout simplement aux questions et pour connaitre vos résultats, vous devrez donner votre email pour les recevoir …

Astucieux.

On retrouve aussi des quiz sur des sites e-commerce.

Cela vous permet de choisir vous-même un produit selon vos réponses au quiz.

Le Live Streaming

Nous avons déjà parlé des vidéos en direct, donc je ne vais pas rentrer dans les détails.

Ils sont une autre forme de contenu interactif.

Selon Facebook, les utilisateurs passent 3 fois plus de temps à regarder des Lives et commentent 10 fois plus sur Un Live qu’une vidéo normale.

Les sondages

Ils sont très efficaces pour impliquer votre audience dans certaines décisions.

Par exemple, si vous venez d’écrire un livre, vous pourriez proposer deux couvertures de livre à votre audience et leur demander laquelle vous devriez choisir.

Sur Facebook, les sondages ressemblent à ça :

Les concours

J’en ai déjà parlé, ils fonctionnent assez bien sur Instagram et un peu moins sur Facebook.

Sur Facebook, les règles sont plus restrictives que sur Instagram.

Les sondages dans les Stories

Les Stories Instagram sont également un type de contenu qui suscite pas mal de réactions.

Vous pouvez également ajouter des sondages pour pimenter vos Stories.

Il y a aussi les Stickers « Questions » qui renforcent encore plus la relation que vous pouvez développer avec votre audience. Voici un exemple :

instagram stories questions

12) Les applications de messagerie sociale 

Les applications de messagerie sociale comme Messenger, Whatsapp, We Chat ou encore Instagram Direct prennent de l’importance dans le marketing digital.

Les entreprises les utilisent pour améliorer leur service client et, comme nous l’avons vu, pour intégrer des chatbots.

Regardez un peu ce graphique qui montre le nombre d’utilisateurs mensuels par plateforme sociale.

Qu’est-ce que vous remarquez ?

On retrouve 3 messageries sociales avec :

  • 1,2 milliard d’utilisateurs mensuels pour Whatsapp et Messenger
  • Presque 900 millions d’utilisateurs pour WeChat.

Les messageries sociales ont aussi l’avantage du volume en termes d’utilisateurs, pour le plus grand plaisir des entreprises.

Mais qu’en est-il des consommateurs ?

Ils semblent apprécier aussi …

Sur Messenger, c’est plus de 2 milliards de messages échangés entre des particuliers et des entreprises chaque mois !

Selon une étude de Facebook conduite sur un échantillon de 12.500 personnes, il se trouve que les consommateurs apprécient particulièrement ce type de communication avec les entreprises :

  • 56% des personnes interrogées qui préfèrent envoyer un message à une entreprise que l’appeler pour du service client
  • 61% des personnes interrogées préfèrent recevoir des messages personnalisés de la part des entreprises
  • Plus de 50% préfèrent acheter à une entreprise à laquelle ils peuvent envoyer un message

En 2017, Facebook a aussi offert la possibilité aux entreprises de placer leurs publicités sur Messenger.

Facebook a aussi lancé les publicités « clics sur Messenger » comme celle-ci.

Jon Loomer utilise ce type de publicité pour discuter avec les personnes intéressées par son programme. 

Les personnes qui cliquent sur la publicité sont redirigées sur Messenger pour discuter avec Jon Loomer ou son bot …

Cela lui permet aussi de répondre personnellement aux objections à l’achat que ces personnes pourraient avoir.

13) Le marketing digital requiert une approche multi-canale

Bravo, vous avez lu jusqu’ici !

Je suis sûr que votre cerveau bouillonne et que vous vous dites : par où commencer ? 

La réalité, c’est qu’en 2019, vous ne pouvez plus dépendre d’un seul canal marketing comme ce fut le cas il y a 5 ans.

Je vous explique pourquoi.

Dans cet article, je vous ai parlé de nombreuses plateformes ou contenus qui peuvent être intégrés dans votre stratégie digitale, comme :

  • Facebook
  • Instagram
  • LinkedIn
  • Twitter
  • YouTube
  • Google
  • IGTV
  • Les applications de messagerie sociale
  • Les publicités sociales
  • La vidéo
  • Les vidéos en direct
  • Etc.

Et je ne vous ai même pas parlé de :

  • SEO
  • Emailing
  • Blogging
  • Et bien d’autres choses encore …

Aujourd’hui, il n’est plus suffisant d’être présent sur une seule plateforme, il est plus intéressant d’en intégrer plusieurs dans votre stratégie.

Sur Internet, il faut en moyenne 7 points de contact avant qu’un parfait inconnu devienne client chez vous.

Vous ne pouvez pas dépendre d’une seule plateforme pour obtenir ces 7 points de contact.

C’est possible bien sûr, mais c’est risqué (vous n’avez aucun contrôle sur les algorithmes de Google, Facebook … et le reste).

Pour réussir, vous devez combiner (ou intégrer) ensemble dans votre stratégie digitale plusieurs canaux ou médias.

Prenons l’exemple de cet article que je vais publier sur mon blog.

L’objectif, c’est qu’il se positionne en première position de la première page des moteurs de recherche pour la requête « tendances du marketing digital ».

C’est mon objectif du point de vue SEO.

Mais cet article ne va pas servir qu’à ça … Loin de là.

En premier lieu, je vais écrire un email que je vais envoyer à tous les membres de ma Newsletter.

Il va aussi me servir à animer ma communauté sur Facebook, publier un post « expert » sur LinkedIn et quelques tweets sur Twitter.

Si j’ai le temps, je pourrais aussi publier plusieurs Stories Instagram pour présenter cet article.

J’investirais aussi 100€ en publicité Facebook pour toucher de nouvelles personnes grâce à cet article.

Ce n’est pas fini !

Je vais aussi transformer cet article de blog en une courte vidéo et la publier sur plusieurs réseaux sociaux, en y adaptant le message pour répondre aux attentes différentes sur chacune d’entre elles.

Enfin, je pourrais même envoyer cet article à tous mes clients et ainsi les fidéliser grâce à mon contenu.

Vous avez vu ?

C’est beaucoup de travail.

Rassurez-vous, je n’ai pas développé ça en un jour !

Cela fait un an et demi que je développe ma présence sur le web.

J’ai commencé par 2 ou 3 plateformes et j’en ai intégré d’autres avec le temps.

Le message que je veux vous faire passer c’est qu’aujourd’hui, il est risqué de dépendre d’une seule plateforme. Commencez par 2 plateformes et étendez votre visibilité à d’autres plateformes lorsque vous êtes à l’aise sur les 2 premières …

Conclusion

J’espère que cet article vous a aidé à y voir plus clair !

La plupart des tendances mentionnées dans cet article sont déjà adoptées par de nombreuses grandes marques. Je pense notamment à :

  • La vidéo
  • La publicité sur les réseaux sociaux
  • Les partenariats avec les influenceurs

Ce n’est pas le cas de toutes les PMEs qui ont encore du chemin à parcourir.

Si vous en êtes une, vous avez remarqué que faire appel aux micro-influenceurs est une stratégie à tester cette année (car peu coûteuse). Passer de temps en temps en direct sur Facebook ou Instagram peut aussi vous aider à interagir avec votre communauté.

Pour les réseaux sociaux, retenez que l’engagement reste le facteur le plus important pour votre réussite, quelle que soit la plateforme.

Ce qui est sûr, c’est que ces prochaines années, il faut s’attendre à voir l’intelligence artificielle envahir notre monde avec des robots toujours plus intelligents, l’adoption des assistants vocaux comme Alexa, etc.

Je mise aussi une petite pièce sur Facebook Watch et IGTV ! Je pense que, ces prochaines années, Facebook va améliorer ces 2 produits pour en faire des concurrents ou alternatives à Netflix et YouTube 😉

Quelle tendance du marketing digital allez-vous intégrer dans votre stratégie cette année ?

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